Le juge d’instruction du Bureau n°23 du Centre de justice contre le terrorisme a décidé de maintenir le statut des libertés, tous présents dans l’affaire de l’association caritative « Nama Tounes ».
Deux personnes détenues par la police comparurent devant le juge d’instruction en qualité de témoins et furent interrogées.
En outre, le bureau du procureur a ordonné un mandat d’arrêt contre la fille de l’ancien chef du gouvernement Hammadi Jebali et de l’ancien ministre des Affaires étrangères Rafik Abdessalem parce que deux de ses personnes impliquées sont « en liberté ».
C’est la même mesure prise contre Mouadh Ghannouchi, le fils du président du mouvement Ennahdha. En revanche, la date d’audition d’Hammadi Jebali sera confirmée ultérieurement.
Il est rappelé hier lundi que le parquet de l’unité antiterroriste a décidé d’ouvrir une enquête sur les anciens et actuels responsables de l’association, sur la base des conclusions de l’unité antiterroriste Bouchoucha. « Nama Tounes » pour blanchiment d’argent, financement suspect à des individus ou groupes liés au terrorisme à l’intérieur et à l’extérieur du territoire tunisien.
